Solutions aux défis les plus communs dans les flux de travail de traduction de projets InDesign

Adobe InDesign est extrêmement populaire dans le monde entier, avec des millions d’utilisateurs et une part importante (plus de 26 % de part de marché) du<a href= »https://www.statista.com/statistics/1369176/worldwide-graphics-market-share/ » target= »_blank » rel= »noopener »> secteur mondial des logiciels graphiques</a>. Par conséquent, développer un flux de travail fluide pour <a href= »/?page_id=213″>la traduction de projets InDesign</a> est essentiel. Dans cet article, nous abordons plusieurs solutions aux défis les plus communs que l’on peut rencontrer lors de la traduction de projets InDesign.
<h2><strong>Défis de mise en page lors de la traduction de projets InDesign</strong></h2>
En tant que logiciel de publication assistée par ordinateur (PAO) et de mise en page, InDesign est l’outil de choix pour les graphistes et les <a href= »/?page_id=438″>experts en marketing</a> qui produisent des livres, des livres électroniques, des brochures, des dépliants, des magazines, des documents multipages, etc. Cependant, comme InDesign est particulièrement populaire pour les médias imprimés, les traducteurs sont confrontés à des problèmes spécifiques liés à la composition et à la mise en page, tels que :
<ul>
<li><strong>Expansion/contraction du texte :</strong>La traduction d’un texte vers une autre langue peut radicalement augmenter ou diminuer la quantité de texte. Par exemple, traduire de l’anglais vers <a href= »/?page_id=19991″>espagnol</a> peut agrandir votre texte entre 20 % et 25 %, le rendant potentiellement trop long pour tenir sur une page imprimée.</li>
<li><strong>Changement de sens de lecture du texte : </strong>Si une langue qui se lit généralement de gauche à droite doit être traduite vers une langue qui se lit de droite à gauche, comme par exemple la traduction de l’anglais vers <a href= »/?page_id=153″>arabe</a>, ça peut rapidement entraîner des complications avec les éléments de mise en page tels que les tableaux, les graphiques, et logos.</li>
<li><strong>Polices et caractères : </strong> Toutes les langues ne sont pas disponibles dans toutes les polices, en particulier celles qui utilisent des caractères spéciaux et des diacritiques. De plus, pour une langue comme le chinois ou le japonais, l’espacement entre les lignes devra peut-être être augmenté afin de rendre chaque idéogramme lisible.</li>
</ul>
<h2><strong> </strong><strong>Défis liés au flux de travail avec la traduction de projets InDesign</strong></h2>
En plus de ces défis de conception, il existe également plusieurs difficultés de traduction liées au flux de travail lui-même.
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<li><strong>Caractère exclusif des fichiers : </strong> Les fichiers d’InDesign ont un format unique, .indd, qui appartient exclusivement à Adobe. Par conséquent, ils ne peuvent être ouverts par aucun autre logiciel. Le texte doit être converti dans un format différent (IDML, langage de balisage InDesign) ou extrait avant de l’envoyer au traducteur.</li>
<li><strong>Processus fastidieux : </strong>En raison de ces étapes préalables, la traduction de projets InDesign peut être un processus complexe et long. En outre, l’ajustement des éléments visuels tout au long du processus de traduction exige du temps et une attention méticuleuse aux détails, particulièrement lors de la préparation du projet pour l’impression.</li>
<li><strong>Risque élevé d’erreurs : </strong><a href= »/?page_id=204″>Les problèmes de formatage des fichiers</a> et les problèmes relatifs aux droits d’accès des utilisateurs augmentent la probabilité d’erreurs. Par exemple, si l’utilisateur ayant accès au fichier InDesign d’origine et le traducteur ne sont pas la même personne ou ne font pas partie de la même équipe, le graphiste peut se retrouver obligé à copier-coller laborieusement le texte d’un document Word ou Excel.</li>
</ul>
<h2><strong>Solutions aux problèmes communs de traduction de projets InDesign</strong></h2>
Heureusement, travailler avec une équipe experte à la fois en traduction linguistique et en InDesign peut résoudre ces défis. Un traducteur maîtrisant InDesign sera le mieux placé pour tirer parti des fonctionnalités du logiciel, telles que :
<ul>
<li>Utiliser des cadres ancrés pour garantir que les éléments visuels ne se déplacent pas sur la page lorsque le texte traduit se contracte ou s’agrandit.</li>
<li>Appliquer des styles de paragraphe et de caractère ou bien utiliser des calques pour apporter des modifications globales ou pour contenir des éléments pouvant nécessiter une modification.</li>
<li> Incorporer des espaces blancs pour optimiser le projet en vue d’une traduction future.</li>
<li>Sélectionner les meilleures polices qui fonctionneront avec toutes les langues cibles concernées.</li>
</ul>
En outre, un fournisseur de services de traduction professionnel peut également proposer des solutions pratiques pour surmonter les problemes logistiques. Par exemple:
<ul>
<li>Recevoir directement les fichiers InDesign et utiliser des outils de traduction assistée par ordinateur (TAO), éliminant ainsi les étapes fastidieuses de pré-traduction.</li>
<li>Fournir une équipe interne de <a href= »/?page_id=198″>publication assistée par ordinateur</a> (PAO) et reduire ainsi les delais et le risque d’erreurs liées à l’échange de plusieurs fichiers entre les destinataires.</li>
<li>Effectuer une phase finale de relecture approfondie pour vous assurer que le projet est prêt à être imprimé.</li>
</ul>
En bref, un <a href= »https://www.trustedtranslations.com/ »>fournisseur de services linguistiques</a>fiable disposant d’une équipe d’excellents traducteurs et d’une équipe interne de publication assistée par ordinateur est le mieux placé pour garantir une expérience fluide. Chez <em>Trusted Translations,</em> nous travaillons même sur demande avec l’équipe de conception interne du client.

Photo de  Kelsey Todd  sur  Unsplash